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Platon

 

 

CLÉMENT D'ALEXANDRIE

 

 

 

 

LE DIVIN MAITRE, ou LE PÉDAGOGUE

 

 

LIVRE PREMIER.

 

chapitres I à VI

 

CHAPITRE PREMIER. Qu'est-ce que le divin Maître?

CHAPITRE II. Ce sont nos péchés qui nous rendent nécessaire l'assistance du Pédagogue.

CHAPITRE III. De la bonté du divin Maître et de son amour pour les hommes.

CHAPITRE IV. Le Verbe instruit également les hommes et les femmes.

CHAPITRE V. Tous ceux qui marchent dans les voies de la vérité sont enfants de Dieu.

CHAPITRE VI. Contre ceux qui pensent que le nom d'enfant nous est donné comme une marque de la faiblesse naissante de notre instruction.

 

chapitres VII à XIII

 

CHAPITRE VII. Quel est notre Pédagogue et quelle est son institution.

CHAPITRE VIII. Contre ceux qui croient que celui qui est juste n'est pas bon.

CHAPITRE IX. Il appartient à la même puissance de faire du bien et de punir justement. — De la méthode qu'emploie le Verbe pour nous conduire.

CHAPITRE X. Comment le même Dieu, par le même Verbe, nous détourne du péché par la menace, et nous sauve par l'exhortation.

CHAPITRE XI. Que le Verbe remplissait l'office de Pédagogue au moyen de la loi et des prophètes.

CHAPITRE XII. Le Pédagogue mêle avec une sagesse admirable, dans ses instructions paternelles, la douceur et la sévérité.

CHAPITRE XIII. Les actions vertueuses sont conformes à la raison : le péché y est contraire.

 

LIVRE SECOND.

 

chapitres I à VII

 

CHAPITRE PREMIER. Des règles qu'il faut observer en mangeant.

CHAPITRE II. De la modération qu'on doit observer dans le boire.

 CHAPITRE III. Il ne faut point rechercher la possession des meubles riches et précieux.

CHAPITRE IV. De quelle manière il est permis de se réjouir dans les festins.

CHAPITRE V. Du rire.

CHAPITRE VI. Des discours honteux.

CHAPITRE VII. Des devoirs de ceux qui vivent ensemble.

 

chapitres VIII à XII

 

CHAPITRE VIII. De l'usage des parfums et des couronnes.

 CHAPITRE IX. Du sommeil, et de la manière de s'y livrer et d'en jouir.

CHAPITRE X. De la procréation des enfants.

CHAPITRE XI. De la chaussure.

CHAPITRE XII. Il est défendu d'admirer les parures précieuses, les perles et les pierreries.

 

 

DISCOURS AUX GENTILS. - Προτρεπτικός προς Έλληνας

 

QUEL RICHE PEUT ÊTRE SAUVÉ ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

STROMATES. LIVRE I. - ΚΛΗΜΕΝΤΟΣ ΣΤΡΩΜΑΤΕΩΝ ΔΕΥΤΕΡΟΣ

 

Chapitres I à VI

 

PRÉFACE.  L'auteur expose les matières qu'il va traiter, et montre de quelle utilité les écrivains sont pour leurs lecteurs.

CHAPITRE II. Il prévient l'objection de ceux qui le blâmeraient d'avoir inséré dans ses ouvrages de nombreux fragments de la philosophie grecque.

CHAPITRE III. Contre les sophistes et les prôneurs de la science inutile.

CHAPITRE IV. Les arts humains ne sont pas moins sortis de la main de Dieu que la science des choses divines.

CHAPITRE V. La philosophie est la servante de la théologie. Interprétation de l'histoire de Sara et d'Agar.

CHAPITRE VI. C'est l'éducation, non la nature, qui le plus souvent nous rend vertueux. La science est d'un grand secours pour nous porter à la vertu.

 

Chapitres VII à XII

 

CHAPITRE VII. La philosophie ouvre à l'homme une route vers le ciel. Elle n'est pas particulière à une secte, mais éclectique.

CHAPITRE VIII. L'art du sophiste, et généralement tous les arts qui ne traitent que des mots, ne doivent pas être regardés comme utiles.

CHAPITRE IX. Pour bien comprendre les Écritures, les sciences qui se rapportent à la philosophie sont absolument nécessaires.

CHAPITRE X. Il faut plutôt s'appliquer à bien faire qu'à bien dire.

CHAPITRE XI. Quelle est la sagesse et la philosophie que l'apôtre nous exhorte à fuir.

CHAPITRE XII. Il ne faut pas dévoiler au premier venu les mystères de la foi.

 

Chapitres XII à XXI

 

CHAPITRE XIII. Chacune des différentes sectes s'est emparée de quelque fragment de vérité.

CHAPITRE XIV. Série des philosophes grecs.

CHAPITRE XV. La philosophie grecque est puisée en grande partie dans la philosophie barbare.

CHAPITRE XVI. Les barbares sont aussi les inventeurs de presque tous les autres arts.

CHAPITRE XVII. Sur cette parole du Sauveur : « Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs. »

CHAPITRE XVIII. L'auteur développe cette parole de l'apôtre : « Je détruirai la sagesse des sages. »

CHAPITRE XIX. Il prouve que les philosophes ont recueilli quelques fragments de la vérité.

CHAPITRE XX. En quoi la philosophie est utile pour comprendre la vérité divine.

 

Chapitre XXI

 

CHAPITRE XXI. A En comparant les époques respectives, il prouve que les institutions et les lois des Hébreux sont de heancoup plus anciennes que la philosophie grecque.

CHAPITRE XXI. B

CHAPITRE XXI.  C

CHAPITRE XXI. D

CHAPITRE XXI. E

CHAPITRE XXI. F

CHAPITRE XXI. G

CHAPITRE XXI. H

 

Chapitres XXII à XXIX

 

CHAPITRE XXII. De la version des Septante.

CHAPITRE XXIII. Sur le temps où Moïse a vécu. — De sa naissance et de sa vie.

CHAPITRE XXIV. Comment Moïse remplit ses fonctions de chef des Helireux, et comment, par son exemple, il instruisit les autres dans l'accomplissement de leurs devoirs.

CHAPITRE XXV. Comment Platon, dans son Traité des Lois, s'est inspiré de Moïse.

CHAPITRE XXVI. Que c'est avec raison que l'on donne à Moïse le nom de législateur divin, bien qu'il soit inferieur au Christ, et qu'il est de beaucoup plus digne  de ce titre que les legislateurs grecs Minos et Lycurgue.

CHAPITRE XXVII. La loi a toujours en vue l'intérêt des hommes, même dans les punitions qu'elle leur inflige.

CHAPITRE XXVIII. Division de la loi de Moïse en quatre parties.

CHAPITRE XXIX. Les Grecs ont été justement appelés des enfants par les Egyptiens, si on les compare aux Hébreux et à leurs institutions.

 

 

STROMATES. LIVRE II. - ΚΛΗΜΕΝΤΟΣ ΣΤΡΩΜΑΤΕΩΝ ΔΕΥΤΕΡΟΣ

 

Chapitres I à VI

 

CHAPITRE PREMIER. L'auteur expose les matières qu'il va traiter.

CHAPITRE II. C'est par la foi seule que l'on peut arriver à la connaissance de Dieu.

CHAPITRE III. Il combat les hérétiques, qui prétendent que la foi provient d'une nécessité naturelle.

CHAPITRE IV. Il insiste sur l'utilité de la foi ; et il montre que la foi est le fondement de toute science.

CHAPITRE V. Il prouve par plusieurs exemples que les Grecs ont beaucoup puisé dans les saintes écritures.

CHAPITRE VI. Excellence et utilité de la foi.

 

Chapitres VII à XII

 

CHAPITRE VII. Usage de la crainte ; réfutation de ceux qui l'attaquent.

CHAPITRE VIII. Réfutation des Basilidiens et des Valentiniens, qui veulent que la crainte soit le mobile universel des actions.

CHAPITRE IX. Les  vertus chrétiennes se tiennent mutuellement.

CHAPITRE X. Caractère du philosophe chrétien.

CHAPITRE XI. La connaissance qui vient de la foi est la plus sûre de toutes.

CHAPITRE XII. Sur la double foi.

 

Chapitres XIII à XVΙII

 

CHAPITRE XIII. De la première et de la seconde pénitence.

CHAPITRE XIV. De combien de manières on agit involontairement.

CHAPITRE XV. Sur les différentes sortes d'actes volontaires et de péchés qui en résultent.

CHAPITRE XVI. Comment il faut interpréter les passages des saintes écritures qui attribuent à Dieu des passions humaines.

CHAPITRE XVII. Sur les différentes sortes de connaissance.

CHAPITRE XVIII. La loi de Moïse est la source de toute doctrine morale ; c'est là que les Grecs ont puisé leur Ethique.

 

Chapitres XIX à XXIII

 

CHAPITRE XIX. Du véritable Gnostique. C'est surtout par la bienfaisance qu'il arrive à l'imitation de Dieu.

CHAPITRE XX. Le Gnostique pratique aussi la patience et l'abstinence.

CHAPITRE XXI. L'auteur passe en revue les diverses maximes des philosophes sur le souverain bien.

CHAPITRE XXII. Suivant Platon, le souverain bien pour l'homme consiste à ressembler à Dieu. Les écrivains sacrés sont d'accord avec lui sur ce point.

CHAPITRE XXIII. Des avantages du mariage, et des préceptes qui en doivent diriger l'usage; matières qu'il traite plus au long dans le livre III.

 

 

STROMATES. LIVRE III. - ΚΛΗΜΕΝΤΟΣ ΣΤΡΩΜΑΤΕΩΝ ΤΡΙΤΟΣ

 

Chapitres I à VI

 

 

CHAPITRE PREMIER. L'auteur réfute l'opinion des Basilidiens sur la continence et sur le mariage.

CHAPITRE II. Il réfute aussi la doctrine de Carpocrate et d'Epiphane sur la communauté des femmes.

CHAPITRE III. Platon et quelques anciens philosophes ont devancé les Marcionites et d'autres hérétiques qui s'abstiennent du mariage parce qu'ils pensent que la créature est mauvaise et que les hommes naissent pour la douleur.

CHAPITRE IV. Les hérétiques prennent occasion des maximes qu'ils inventent pour se livrer à des désordres de toute nature.

CHAPITRE V. Il signale deux sortes d'hérétiques : les premiers déclarent que tout leur est promis. Il les réfute d'abord.

CHAPITRE VI. Il attaque la seconde classe d'hérétiques, ceux qui, par haine contre le Créateur, pratiquent la continence.

 

Chapitres VII à XII

 

CHAPITRE VII. En quoi la continence chrétienne l'emporte sur celle que s'attribuent les philosophes.

CHAPITRE VIII. Il explique les passages des saintes Écritures dont les hérétiques se sont servis pour attaquer le mariage. Il défend d'abord saint Paul d'une interprétation impie que les hérétiques ont donnée à quelques-unes de ses paroles.

CHAPITRE IX. Il examine la réponse du Christ à Salomé.

CHAPITRE X. Sens mystique d'une parole de Jésus-Christ, rapportée par saint Mathieu.

CHAPITRE XI. Préceptes de la loi et du Christ qui défendent la concupiscence.

CHAPITRE XII. Il explique plusieurs passages de saint Paul et des saintes Écritures.

 

Chapitres XIII à XVII

 

CHAPITRE XIII. Réponse à Jules Cassien et à un passage que celui-ci avait puisé dans un évangile apocryphe.

CHAPITRE XIV. Il explique quelques passages de saint Paul.

CHAPITRE XV. Il explique plusieurs autres passages des saintes Ecritures.

CHAPITRE XVI. Il explique divers autres passages des saints livres.

CHAPITRE XVII. Soutenir que le mariage et la génération sont chose mauvaise, c'est attaquer l'œuvre de Dieu et le don même de l'Évangile.

 

 

 

STROMATES. LIVRE IV. - ΚΛΗΜΕΝΤΟΣ ΣΤΡΩΜΑΤΕΩΝ ΤΕΤΑΡΤΟΣ

 

Chapitres I à VI

 

CHAPITRE PREMIER.  Ordre des matières que l'auteur va traiter.

CHAPITRE II. Pourquoi l'auteur a donné au présent livre le nom de Stromates

CHAPITRE III. En quoi consiste la véritable excellence de l'homme.

CHAPITRE IV. Éloge du martyre.

CHAPITRE V. Du mépris de la douleur, de la pauvreté, et des autres maux qui concernent le corps.

CHAPITRE VI. De quelques sources de béatitudes.

 

Chapitres VII à XII

 

CHAPITRE VII. Bienheureux ceux qui versent leur sang pour la cause de Dieu !

CHAPITRE VIII. Dans l'Eglise, les hommes, les femmes, les esclaves, tous sont candidats du martyre.

CHAPITRE IX. L'auteur rassemble et explique ce que le Christ a dit sur les avantages du martyre.

CHAPITRE X. L'auteur reprend avec sévérité ceux qui se livraient d'eux-mêmes aux persécuteurs.

CHAPITRE XI. Réponse à cette objection : Dieu prend soin de vous ; pourquoi êtes-vous dans la souffrance?

CHAPITRE XII. Réfutation de Basilide qui regarde le martyre comme une sorte de supplice mérité par les prévarications précédentes.

 

 

Chapitres XIII à XVIII

 

CHAPITRE XIII. Réfutation du .système de Valentin sur l'abolition de la mort.

CHAPITRE XIV. Il faut aimer jusqu'à ses ennemis.

CHAPITRE XV. Fuyez le scandale.

CHAPITRE XVI. Explication de plusieurs passages des Écritures sur la constance, la patience et la charité des martyrs.

CHAPITRE XVII. Passages de l'épitre de saint Clément, pape, aux Corinthiens, cités à l'appui de ce qui précède.

CHAPITRE XVIII. De la charité. — Réprimez les mauvais désirs.

 

 

Chapitres XIX à XXIII

 

CHAPITRE XIX. La femme peut atteindre comme l'homme à la perfection. Exemples divers.

CHAPITRE XX. Devoirs d'une femme de bonnes mœurs.

CHAPITRE XXI. Du Chrétien parfait, ou du véritable Gnostique.

CHAPITRE XXII. Ni la crainte du supplice, ni l'espoir de la récompense ne doivent être le mobile du vrai Gnostique. Il n'est guide que par l'amour du bien et du beau. envisagés en eux-mêmes.

CHAPITRE XXIIl. Le vrai Gnostique s'abstient autant qu'il est en lui de tout ce qui flatte les sens ; et il sacrifie ces biens à des biens d'un ordre supérieur.

 

 

Chapitres XXIV à XXVI

 

CHAPITRE XXIV. De la cause et de la fin des peines infligées par Dieu.

CHAPITRE XXV. La véritable perfection réside dans la connaissance et dans l'amour de Dieu.

CHAPITRE XXVI. Comment le véritable Gnostique use du corps et des choses de la terre.

 

 

STROMATES. LIVRE V. - ΚΛΗΜΕΝΤΟΣ ΣΤΡΩΜΑΤΕΩΝ ΠΕΜΠΤΟΣ

 

Chapitres I à VI

 

CHAPITRE PREMIER.  De la foi.

CHAPITRE II. De l'Espérance.

CHAPITRE III. Les objets sur lesquels s'exerce l'action de la Foi ne sont perceptibles qu'à l'esprit.

CHAPITRE IV. Les Gentils et les écrivains sacres enveloppent habituellement d'un voile allégorique les traditions relatives à la Divinité.

CHAPITRE V. Symboles de Pythagore.

CHAPITRE VI. Signification mystique du tabernacle et de ses ornements.

 

Chapitres VII à X.

 

CHAPITRE VII. Les Egyptiens dérobaient aussi à la multitude, sous des symboles et des énigmes, le sens des choses divines.

CHAPITRE VIII. Les symboles et les allégories en usage chez les autres peuples sont surtout familiers aux poètes et aux philosophes.

CHAPITRE IX.  Motifs du symbolisme.

CHAPITRE X. Les Apôtres ont cru aussi qu'il fallait couvrir d'un voile les mystères de la foi.

 

Chapitres XI à XIII

 

CHAPITRE XI. Pour parvenir à la véritable connaissance de Dieu, il faut nous détacher de la matière. Le Paganisme lui-même donne ce précepte.

CHAPITRE XII. Dieu ne peut être compris par l'intelligence, ni exprimé par la parole.

CHAPITRE XIII. Selon les philosophes, la connaissance de Dieu est un don divin, et il faut en demander la participation à ceux qui ont été jugés dignes de recevoir l'inspiration divine.

 

Chapitre XIV

 

CHAPITRE XIV. Les Grecs ont emprunté leurs dogmes aux livres des Hébreux.

 

 

STROMATES. LIVRE VI. - ΚΛΗΜΕΝΤΟΣ ΣΤΡΩΜΑΤΕΩΝ ΕΚΤΟΣ

 

CHAPITRES I à VI.

 

CHAPITRE PREMIER.  Ordre des matières.

CHAPlTRE II. Continuation de ce sujet : les Grecs ont presque tout derobé aux Hébreux. — Les Grecs se sont pris mutuellement les maximes qui appartenaient à chacun d'eux.

CHAPITRE III.Pour établir de nouveau que les Grecs ont tout dérobé aux Hébreux, l'auteur prouve qu'ils ont transporté dans leur histoire et leur mythologie les miracles racontés, par les saintes Écritures.

CHAPITRE IV, Une grande partie des doctrines qui composent la philosophie grecque provient des Égyptiens et des Gymnosophistes de l'Inde, célèbres les uns et les autres par leur sagesse.

CHAPITRE V.  Les Grecs ont eu quelque connaissance du vrai Dieu.

CHAPITRE VI. L'Evangile a été annoncé aux Gentils qui se trouvaient dans les enfers . aussi bien qu'aux Juifs et aux Gentils qui vivaient alors.

 

 

CHAPITRES VII à XII.

 

CHAPITRE VII.  Quelle est la véritable sagesse et le maître qui nous l'enseigne

CHAPITRE VIII. La philosophie, quoique l'apôtre la rabaisse en comparaison de la lumière plus parfaite de l'Évangile, ne laisse pas d'être une connaissance donnée par Dieu.

CHAPITRE IX. Le vrai Gnostique est entièrement libre de toutes les perturbations de l'âme.

CHAPITRE X. Il faut s'instruire également dans les sciences humaines, qui sont les auxiliaires de la foi et préparent l'esprit à la perception des choses divines.

CHAPITRE XI. Le sens mystique des choses divines est renfermé dans les  proportions numériques au géométriques et dans les différente modes de la musique.

CHAPITRE XII. Les hommes peuvent tous indistinctement arriver à la perfection. Le vrai Gnostique est le seul qui atteigne le but.

 

CHAPITRES XIII à XVIII.

 

CHAPITRE XIII. Il y a dans le ciel de hauts degrés de gloire réservé aux véritables Gnostiques et correspondant aux dignites d'évéque, de prêtre et de diacre dans l'Eglise terrestre.

CHAPITRE XIV. Une demeure est assignée dans le ciel, selon le mérite de chacun, à ceux qui aiment la vérité et qui font le bien.

CHAPITRE XV. Des différents degrés de la connaissance qui conduit à la perfection. Pourquoi l'obscurité et le mysticisme de l'Écriture.

CHAPITRE XVI. Le Décalogue pris pour exemple d'interprétation mystique.

CHAPITRE XVII.  Quoique la philosophie n'ait pas donné la parfaite connaissance de Dieu, elle est cependant un remède pour les âmes.

CHAPITRE XVIII. Le Gnostique ne touche qu'en passant, et comme pour se délasser, à la philosophie grecque. Il se hâte d'arriver à la doctrine chrétienne, source de toute sagesse.

 

 

STROMATES. LIVRE VII. - ΚΛΗΜΕΝΤΟΣ ΣΤΡΩΜΑΤΕΩΝ ΕΒ∆ΟΜΟΣ

 

CHAPITRES I à VI.

 

CHAPITRE PREMIER. Le véritable Gnostique est un sincère adorateur de Dieu ; c'est injustement que les incrédules l'accusent d'atheisme ou d'impiété.

CHAPITRE II. Le Fils de Dieu est établi par son Père chef et modérateur de tout ce qui existe. Il prend soin des hommes et opère leur salut.

CHAPITRE III. Le Gnostique travaille de toutes ses forces à ressembler à Dieu et à son Fils.

CHAPITRE IV. Les païens ont imaginé des dieux semblables à eux-mêmes, pour la forme extérieure et les mouvements intérieurs de l'âme : de là l'origine et le berceau de toute superstition.

CHAPITRE V. L'âme pure est un temple plus agréable à Dieu que les plus beaux édifices élevés par la main des hommes.

CHAPITRE VI. Les prières et les actions Je grâces, offertes sans relâche par un cœur pur, sont préférables à tous les sacrifices.

 

CHAPITRES VIII à XII.

 

CHAPITRE VII. Quelle est la prière du véritable Gnostique, et comment Dieu l'exauce.

CHAPITRE VIII. Le Gnostique, austère zélateur de la vérité, n'a pas même besoin de recourir au serment.

CHAPITRE IX. La supériorité, dam les vertus précedentes, appartient à celui qui enseigne le prochain.

CHAPITRE X. Degrés par lesquels le véritable Gnostique s'élève à la perfection.

CHAPITRE XI. Vie du Gnostique. Son courage à supporter les maux, et même la mort, si telle est la volonté de Dieu.

CHAPITRE XII. Le Gnostique est bienfaisant, pratique la continence, et méprise toutes les frivolités du monde.

 

CHAPITRES XIII à XVIII.

 

CHAPITRE XIII. Le Gnostique pardonne les torts et les outrages dont il a été l'objet.

CHAPITRE XIV. L'auteur achève le portrait du Gnostique en citant un passage de saint Paul, qu'il commente.

CHAPITRE XV. Réponse à l'objection de ceux qui refusent d'entrer dans l'Église à cause des différentes sectes qui la divisent.

CHAPITRE XVI. Il existe deux moyens pour distinguer la foi véritable de l'hérésie. Le premier de ces moyens c'est de recourir aux Écritures et de les appeler en témoignage pour prononcer sur une doctrine, quelle qu'elle soit.

CHAPITRE XVII. Le second moyen pour découvrir la vérité consiste à examiner laquelle des deux traditions possède l'antériorité, celle de l'Église ou celle de l'hérésie.

CHAPITRE XVIII. Le sens mystique de la loi, quand elle classe les animaux en purs et en impurs, peut encore aider à distinguer de l'Eglise les Juifs et les hérétiques.

 


 


 

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