Le temps des généraux : Pompée

Conjuration de Catilina

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63 - 62
Conjuration de Catilina
Catilina se présente une seconde fois au consulat

CICERON : M. Tullius Cicero fut avocat, homme politique, écrivain. Durant les dernières années de sa vie, aigri par son divorce et par sa mise à l'écart de la vie politique, Cicéron va se consacrer à la rédaction d'ouvrages théoriques sur l'art oratoire et sur la philosophie. Au fil de ses lectures, Cicéron choisit son bien où il le trouve ; il est en philosophie, un représentant de l'éclectisme.

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Les candidats : Il y avait quatre candidats : - Junius Silanus - Lucius Sergius Cartilina - Lucius Licinius Murena - Lucius Sulpicius Rufus
Les gagnants : Murena et Silanus.
Catilinam interea alacrem atque laetum, stipatum choro iuventutis, vallatum indicibus atque sicariis, inflatum cum spe militum <tum> conlegae mei, quem ad modum dicebat ipse, promissis, circumfluentem colonorum Arretinorum et Faesulanorum exercitu; quam turbam dissimillimo ex genere distinguebant homines perculsi Sullani temporis calamitate. Voltus erat ipsius plenus furoris, oculi sceleris, sermo adrogantiae, sic ut ei iam exploratus et domi conditus consulatus videretur. Murenam contemnebat, Sulpicium accusatorem suum numerabat non competitorem; ei vim denuntiabat, rei publicae minabatur.
[50] Quibus rebus qui timor bonis omnibus iniectus sit quantaque desperatio rei publicae, si ille factus esset, nolite a me commoneri velle; vosmet ipsi vobiscum recordamini. Meministis enim, cum illius nefarii gladiatoris voces percrebruissent quas habuisse in contione domestica dicebatur, cum miserorum fidelem defensorem negasset inveniri posse nisi eum qui ipse miser esset; integrorum et fortunatorum promissis saucios et miseros credere non oportere; qua re qui consumpta replere, erepta reciperare vellent, spectarent quid ipse deberet, quid possideret, quid auderet; minime timidum et valde calamitosum esse oportere eum qui esset futurus dux et signifer calamitosorum.
[51] Tum igitur, his rebus auditis, meministis fieri senatus consultum referente me ne postero die comitia haberentur, ut de his rebus in senatu agere possemus. Itaque postridie frequenti senatu Catilinam excitavi atque eum de his rebus iussi, si quid vellet, quae ad me adlatae essent dicere. Atque ille, ut semper fuit apertissimus, non se purgavit sed indicavit atque induit. Tum enim dixit duo corpora esse rei publicae, unum debile infirmo capite, alterum firmum sine capite; huic, si ita de se meritum esset, caput se vivo non defuturum. Congemuit senatus frequens neque tamen satis severe pro rei indignitate decrevit; nam partim ideo fortes in decernendo non erant, quia nihil timebant, partim, quia <omnia>. Erupit e senatu triumphans gaudio quem omnino vivum illinc exire non oportuerat, praesertim cum idem ille in eodem ordine paucis diebus ante Catoni, fortissimo viro, iudicium minitanti ac denuntianti respondisset, si quod esset in suas fortunas incendium excitatum, id se non aqua sed ruina restincturum.
[52] His tum rebus commotus et quod homines iam tum coniuratos cum gladiis in campum deduci a Catilina sciebam, descendi in campum cum firmissimo praesidio fortissimorum virorum et cum illa lata insignique lorica, non quae me tegeret--etenim sciebam Catilinam non latus aut ventrem sed caput et collum solere petere--verum ut omnes boni animadverterent et, cum in metu et periculo consulem viderent, id quod est factum, ad opem praesidiumque concurrerent. Itaque cum te, Servi, remissiorem in petendo putarent, Catilinam et spe et cupiditate inflammatum viderent, omnes qui illam ab re publica pestem depellere cupiebant ad Murenam se statim contulerunt.

Cicéron, pro Murena

  vocabulaire

En attendant on voyait Catilina gai et joyeux, accompagné d'une bande des jeunes, avec comme gardes du corps des dénonciateurs et des assassins, gonflé par les espoirs qu'il avait placés dans les soldats, et, comme il l'a dit lui-même, par les promesses de mes collègues; entouré aussi des troupes de colons d'Arretium et de Faesulae - une foule remarquable parmi laquelle se distinguaient les hommes qui avaient été ruinés par les désastres durant la période de Sylla. Sa visage était rempli de fureur; ses yeux brillaient de méchanceté; son discours était arrogant. On pouvair croire qu'il était assuré du consulat et qu'il l'avait déposé chez lui. Il dédaignait Murena. Il considérait Sulpicius comme son accusateur et non comme un concurrent. Il lui présageait la violence; il menaçait la république.
XXV.[50 ] Et moi je n'ai pas besoin de vous rappeler quelle terreur a saisi tous les hommes de bien dans ces circonstances et quel désespoir s'empara de la république à l'idée de l'élection de Catilina comme consul, ne me demandez pas de vous le rappeler : vous n'avez qu'à faire appel à votre mémoire; rappelez-vous que se répandaient partout les paroles de ce gladiateur prononcées, dit-on, lors d'une réunion dans sa propre maison "il était impossible de trouver un défenseur fidèle pour des citoyens misérables, sauf un homme qui était lui-même misérable; que des hommes affaiblis et désespérés ne devaient pas faire confiance dans les promesses d'hommes bien portants et heureux; et donc que ceux qui voulaient récupérer ce qu'ils avaient dépensé et récupérer ce qu'ils avaient perdu, regardent ce qu'il devait lui-même, ce qu'il possédait et ce qu'il osait entreprendre; que c'était un homme très courageux et accablé absolument par le malheur, qui devait être le chef et le porte-étendard des misérables".
[ 51 ] Alors, à cette nouvelle, vous vous rappelez qu'on vota un sénatus-consulte, sur ma demande, pour que les comices soient reportées au jour suivant afin que nous puissions discuter de cette affaire devant le sénat. En conséquence, le jour suivant, lors d'une réunion plénière du sénat, j'ai fait lever Catilina lui-même et lui ai demandé, s'il le pouvait, une explication sur ce qui m'avait été apporté. Et lui - dans sa sincérité habituelle - n'essaya pas de se disculper; mais révéla tout et s'enfonça. Alors il dit :"il y a deux corps, dans la république, l'un qui est faible, avec une tête qui ne vaut pas mieux que lui ; l'autre est plein de force, mais il n'a point de tête. En reconnaissance de ce qu'il a fait pour moi, c'est mon devoir de lui en servir; tant que je vivrai". Le sénat entier gémit en l'entendant et prit une résolution pas assez rigoureuse pour une conduite indigne : certains d'entre eux étaient contre une résolution trop rigoureuse, parce qu'ils n'avaient pas peur et d'autres parce qu'ils avaient trop peur. Alors il quitta le sénat, triomphant et exultant, alors qu'il n'aurait jamais dû sortir vivant, en particulier après la réponse qu'il fit dans le même endroit à Caton, cet homme vaillant qui le menaçait de le poursuivre en justice "si un feu étaient allumé contre sa propre fortune, il ne l'éteindrait pas avec de l'eau, mais par la ruine générale."
XXVI.[52 ] Emu alors par ces faits, et sachant que des conjurés en armes étaient amenés par Catilina dans le Champ de Mars, j’y suis moi-même descendu avec une escorte d'hommes courageux et avec une large cuirasse visible, non pour me protéger, (je savais que Catilina visait ma tête et mon cou et non ma poitrine ou mon corps) mais pour que tous les gens de bien puissent la voir et pour que, quand ils verraient leur consul en péril et en danger (c'est ce qui arriva) ils se précipitent à mon aide pour me protéger. Par conséquent, Servius, comme on pensait que tu étais trop timoré dans ta candidature, et qu'on voyait Catilina enflammé d'espoir et de désir, tous ceux qui souhaitaient repousser ce parasite de la république ont immédiatement rejoint le parti de Murena.

Cicéron, pro Murena

 

texte pris sur le site nimispauci

V

Pendant que Catilina s'occupait d'organiser sa conspiration à Rome et dans l'Italie, il avait pris une résolution dont nous sommes d'abord un peu étonnés : il s'était décidé, avant de prendre les armes, à essayer encore une fois la fortune d'une élection. Peut-être avait-il tort de mêler ensemble un complot et une candidature, mais on a vu quel était le prestige de la dignité consulaire et que les plus audacieux conspirateurs hésitaient à tenter leur entreprise tant qu'ils n'en avaient pas été revêtus. Catilina d'ailleurs avait toujours les yeux sur Sylla, qui était son maître et son modèle, et il espérait arriver comme lui par le consulat au pouvoir suprême. Il se mit donc de nouveau sur les rangs aux comices électoraux pour 692. La lutte était sérieuse et les concurrents redoutables. Nous connaissons parmi eux Servius Sulpicius, le plus grand jurisconsulte de ce temps, D. Junius Silanus, un honnête homme, sans grand éclat, mais riche et généreux qui, pendant qu'il était édile, avait donné des jeux dont on se souvenait, enfin Licinius Murena, lieutenant de Pompée, dont le père avait servi avec honneur sous Sylla en Asie, et triomphé de Mithridate. Le succès de Silanus paraissait certain c'était un de ces hommes de second ordre qui n'inquiètent personne. Sulpicius l'emportait par son illustration sur tous ses rivaux, mais il était surtout apprécié des gens instruits et des lettrés, qui lui savaient gré d'avoir essayé d'introduire un peu de philosophie dans le droit romain. Malheureusement c'est un genre de mérite auquel le suffrage universel devait être peu sensible. De plus, on lui reprochait quelques-uns des défauts de sa profession, un respect peut-être trop scrupuleux de la légalité et un esprit de chicane. Il voyait des délits partout et menaçait sans cesse les gens de leur faire des procès. Il obtint que Cicéron, son ami, fît voter une loi nouvelle et plus rigoureuse contre la brigue, quoiqu'il y en eût déjà un très grand nombre qui ne passaient pas pour très douces. Cette loi, qui prit le nom de son auteur (lex Tullia, de ambitu), aggravait les peines prononcées contre les candidats qui se permettaient de donner des jeux et des festins au peuple, ou payaient les pauvres gens pour leur faire cortège, et, s’ils en étaient convaincus, les condamnait à l’exil. Malgré ces menaces, la loi Tullia ne fut pas plus efficace que les autres, - on n'a pas encore trouvé le moyen de supprimer les fraudes électorales ; - elle n'eut d'autre résultat que de montrer les inquiétudes de Sulpicius et d'éloigner de lui ceux qui ne votent volontiers que pour les candidats qui ont des chances. Murena, au contraire, qui était un soldat, menait la campagne électorale avec plus de rondeur et d'adresse ; il devait plaire à la populace par l'ascendant qu'exerce toujours sur elle la décision et la belle humeur. Il est bien probable aussi qu'il avait moins de répugnance à répandre sur ceux qui en avaient besoin quelques libéralités opportunes. Habile à se tenir sur les confins de la loi, il fit donner des jeux et offrir des repas au peuple par ses amis et ses parents ; enfin il sut se servir à propos du nom de Pompée, son général, qui était alors très populaire, et du prestige de la guerre d'Orient, qui venait de s'achever d'une manière si glorieuse.
La lutte électorale, dont nous ne connaissons pas tous les incidents, dut être très vive. Catilina payait d'audace. Soit par une sorte de forfanterie qui lui était naturelle, soit qu'il entrât dans ses vues d’effrayer de plus en plus les peureux, il ne prenait pas la peine de dissimuler ses projets. Dans une séance du Sénat, Caton l'ayant menacé de le traduire devant les tribunaux, il répondit fièrement : "Si l’on essaye de mettre le feu à l'édifice de ma fortune, j'éteindrai l’incendie sous les ruines". (Cicéron, Pro Mur., 25 . - Salluste a placé cette réponse de Catilina à la fin de la séance du 7 novembre, après la première Catitinaire. C’est un artifice de lettré : il a voulu terminer une scène importante par un mot à effet.). Vers le même temps circulèrent des propos violents, pleins de menaces, qu'il aurait tenus dans une réunion des gens de son parti, et qui répandirent l'alarme dans Rome. Cicéron, qui état parfaitement informé de tout, résolut d'en profiter. C'était justement la veille de l'élection ; il demanda qu'elle fût retardée, alléguant sans doute qu'il pourrait être dangereux d'y procéder le lendemain. Le Sénat y consentit avec empressement. Il paraissait plein de bonne volonté, décidé à prendre des mesures énergiques ; mais quand, deux jours après, il se réunit de nouveau, ses dispositions n'étaient plus les mêmes : la nuit avait porté conseil.
Cicéron ayant demandé à Catilina de s'expliquer sur les paroles qu'on l'accusait d'avoir dites, il ne prit pas la peine de les démentir ou de nier les desseins qu'on lui prêtait, et répondit avec arrogance : "Il y a deux corps, dans la république, l'un qui est faible, avec une tête qui ne vaut pas mieux que lui ; l'autre est plein de force, mais il n'a point de tête. En reconnaissance de ce qu'il a fait pour moi, c'est mon devoir de lui en servir ; tant que je vivrai." (Cicéron, Pro Murena, 25). Ces provocations furent accueillies par des murmures unanimes, mais personne n'osa proposer de le mettre en jugement, et il sortit avec un air de triomphe (Cicéron, pro Murena, 25). On ignore l'époque où se fit l’élection, mais du moment que Catilina n'était pas poursuivi, il n'y avait pas de raison de la reculer indéfiniment ; elle dut avoir lieu aux mois d'août ou de septembre (Drumann et Mommsen reculent l’élection jusqu'au mois d’Octobre, mais je ne vois rien dans les textes qui nous force à le placer si tard.). Catilina conserva jusqu'à la fin son assurance. Il marchait la tête haute, la figure joyeuse, au milieu de cette brillante jeunesse qui le suivait partout, escorté de délateurs et d'assassins, fier de traîner après lui toute une armée de gens qui lui étaient arrivés d'Arretium et de Faesulae ; car il avait fait venir d’Etrurie pour la circonstance Manlius avec une partie des siens. Il espérait bien que l'élection ne se passerait pas sans quelque bataille, et surtout, il avait donné l'ordre que le consul n'en sortît pas vivant. Mais Cicéron était prévenu et il avait pris ses précautions ; tous les jeunes chevaliers formaient comme une garde autour de lui. Pour montrer aux conjurés qu'il n'ignorait pas leurs projets et faire connaître aux bons citoyens que sa vie état menacée, il s'était couvert d'une cuirasse brillante qu’on entrevoyait sous sa toge. Est-ce, comme il se plaît à le supposer, la sympathie qu'on éprouvait pour lui et le sentiment du danger qu'il venait de courir qui décida les électeurs ? toujours est-il qu'avec l’inévitable Silanus ils nommèrent Murena, et que Catilina fut encore une fois battu.
La lutte eut un épilogue. Sulpicius, qui avait naturellement une très bonne opinion de lui-même et regardait la science où il excellait comme fort au-dessus de tout le reste, ne pouvait pas comprendre comment on avait préféré un soldat à un jurisconsulte, et il se persuada très vite que Murena ne pouvait devoir son succès qu'à des manoeuvres coupables. Avec l'aide de Caton, un grand homme de bien, mais un assez petit esprit, il s'empressa de le déférer aux tribunaux. Cicéron, qui avait jusque-là soutenu Sulpicius, une fois que Murena fut nommé, n'hésita pas à prendre sa défense. Il avait raison : on ne devait pas faire courir de nouveau la chance à la république de tomber dans les mains de Catilina ; il fallait qu'aux calendes de janvier elle eût ses deux consuls pour la protéger. Ce plaidoyer était donc une bonne action, ce fut en même temps un fort beau discours ; il n'en a guère prononcé de meilleur. On ne revient pas de la surprise qu'on éprouve en le voyant dans des circonstances si graves (c'était fort probablement entre la seconde et la troisième Catilinaire), au milieu des inquiétudes mortelles que lui causait la conjuration, quand sa vie était à chaque instant menacée, se charger d'une affaire criminelle et la plaider avec tant de verve et de bonne humeur. Mais ce n'était pas une charge pour lui, c'était un divertissement et une distraction qu'il se donnait. Il était heureux de s'évader un moment de la politique pour retourner à ces débats judiciaires qui étaient son domaine naturel ; du premier coup, dès qu'il y mettait le pied, il retrouvait sa liberté d'esprit, sa gaîté, sa malice, et oubliait tout le reste. Sans doute Sulpicius et Caton étaient ses amis ; mais n'est-ce pas de ses meilleurs amis qu'on connaît le mieux les défauts ? Il savait, par une expérience de tous les jours, qu'il y avait chez le bon Sulpicius un fonds de légiste vétilleux et de doctrinaire gourmé, que l’honnête Caton était le plus têtu et le plus maladroit des hommes, et il ne résista pas au plaisir de le dire. On dut rire de bon coeur au Forum, en entendant ces portraits du jurisconsulte qui débite solennellement ses petites formules, et du stoïcien rigoureux qui proclame "que, toutes les fautes étant égales, on n'est pas plus coupable d'étrangler son père que de saigner un poulet sans nécessité". On oubliait que, dans ce charmant discours, il semblait que l'orateur prît plaisir à se démentir à chaque instant ; qu'il y plaidait pour un homme qu'on accusait - non sans quelque apparence - d'avoir violé la loi Tullia, c'est-à-dire une loi qu'il venait lui-même de faire et qui portait son nom ; qu'il y soutenait fort spirituellement qu'un soldat est plus important pour la république qu'un homme qui ne s'occupe que des arts de la paix, à la veille du jour où il allait écrire le fameux vers : cedant arma togae. Mais les contradictions ne lui coûtaient guère, et on ne lui en tenait pas rigueur ; Murena fut acquitté. La lutte était donc finie ; Catilina n'avait plus aucun moyen de rester dans la légalité, et il se trouvait définitivement enfermé dans sa conjuration.

LA CONJURATION DE CATILINA PAR GASTON BOISSIER de l'Académie française, PARIS, LIBRAIRIE HACHETTE ET Cie, 79, BOULEVARD SAINT-GERMAIN, 1905.

a, prép. : + Abl. : à partir de, après un verbe passif = par
ac
, conj. : et, et aussi
accusator, oris
, m. : 1 - l'accusateur. - 2 - le délateur, le dénonciateur.
ad
, prép. : + Acc. : vers, à, près de
adrogantia, ae
, f. : l'arrogance, la présomption, l'insolence, l'orgueil; l'entêtement, l'obstination
affero, fers, ferre, attuli, allatum
: apporter
ago, is, ere, egi, actum
: 1 - chasser devant soi, faire marcher, conduire, pousser, amener (en parlant des êtres animés ou personnifiés) 2. faire, traiter, agir
alacer, cris, cre
: alerte, vif
alter, era, erum
: autre de deux
ante
, prép. : +acc., devant, avant ; adv. avant
apertissimus, a, um
: superlatif de apertus, a, um : 1 - découvert, ouvert; dégagé, libre. - 2 - qui se fait ouvertement, manifeste, évident; qui s'expose. - 3 - clair, intelligible. - 4 - franc, ouvert, sincère, candide; impudent.
aqua, ae
, f. : l'eau
Arretinus, a, um
: d'Arétium. - Aretini, orum, m. : les habitants d'Arétium.
atque
, conj. : et, et aussi
audeo, es, ere, ausus sum
: oser
audio, is, ire, ivi, itum :
1. entendre (dire) 2. écouter 3. apprendre 4. bene, male audire : avoir bonne, mauvaise réputation
bonus, a, um
: bon (bonus, i : l'homme de bien - bona, orum : les biens)
calamitas, atis
, f. : 1 - la perte des récoltes à cause de la grêle, la maladie des tiges de blé. - 2 - le fléau, la calamité, le malheur, la perte, le désastre, la défaite, le revers, la ruine.
calamitosus, a, um
: ruineux, désastreux, pernicieux
caput, itis
, n. :1. la tête 2. l'extrémité 3. la personne 4. la vie, l'existence 5. la capitale
Catilina, ae
, m. : Catilina
Cato, onis
, m. : Caton
chorus, i
, m. : la danse en choeur, le choeur, la troupe
circumfluo, is, ere, fluxi, fluxum
: 1 - couler tout autour, entourer. - 2 - couler de tous côtés, déborder; au fig. regorger de, être bien pourvu de, être riche, être abondant.
colonus, i
, m : le paysan, l'agriculteur, le fermier, l'habitant d'une colonie
comitium, i
, n. : le comitium (lieu de réunion du peuple) ; comitia, orum : les comices, l'assemblée générale du peuple
commoneo, es, ere, ui, itum
: 1. faire souvenir 2. avertir (de), conseiller (de)
competitor, oris
, m. : le concurrent
condo, is, ere, didi, ditum
: cacher, enfermer, enterrer (condere urbem : fonder une ville)
congemo, is, ere, ui, -
: gémir ensemble, profondément, pleurer, déplorer
conlega, ae
, m. : le collègue
consulatus, us
, m. : le consulat
consultum, i
, n. : le décret ; senatus - : le sénatus-consulte
consumo, is, ere, sumpsi, sumptum
: 1. employer, dépenser 2. consommer, épuiser 3. venir à bout, détruire
contemno, is, ere, tempsi, temptum
: tr. - mépriser, ne pas faire cas de, ne pas tenir compte de, tenir pour négligeable, ne pas se soucier, dédaigner; braver, ne pas craindre.
contio, onis
, f. : la tribune, l'assemblée du peuple convoquée par un magistrat (on n'y vote pas), le discours devant une assemblée (surtout politique)
corpus, oris
, n. : le corps
credo, is, ere, didi, ditum
: I. 1. confier en prêt 2. tenir pour vrai 3. croire II. avoir confiance, se fier
cum
, inv. :1. Préposition + abl. = avec 2. conjonction + ind. = quand, lorsque, comme, ainsi que 3. conjonction + subj. : alors que
de
, prép. + abl. : au sujet de, du haut de, de
debeo, es, ere, ui, itum
: devoir
debilis, e :
1 - infirme, débile, faible; impotent. - 2 - au fig. faible, incomplet, défectueux.
decerno, is, ere, crevi, cretum
: décréter, décider
defensor, oris
, m. : le défenseur
denuntio, as, are
: 1 - annoncer, faire savoir, porter à la connaissance de, notifier, déclarer, présager. - 2 - signifier, enjoindre, ordonner. - 3 - menacer.
desperatio, ionis
, f. : le désespoir
desum, es, esse, defui
: manquer
dico, is, ere, dixi, dictum
: 1 - dire, affirmer, prononcer, exprimer; débiter, réciter. - 2 - dire le nom, nommer, appeler. - 3 - haranguer, plaider. - 4 - célébrer, chanter, raconter, décrire, composer, prédire. - 5 - fixer, assigner, établir, régler. - 6 - avertir, faire savoir, notifier. - 7 - signifier, vouloir dire. - 8 - nommer, élire, proclamer, élever au rang de.
dies, ei
, m. et f. : le jour
dissimillimus, a, um
: différent, dissemblable
distinguo, is, ere, stinxi, stinctum
: distinguer, séparer, ponctuer
domesticus, a, um
: privé, domestique
domi
, adv. : à la maison
duo, ae, o
: deux
dux, ducis,
m. : le chef, le guide
e
, prép. : + Abl. : hors de, de
ego, mei
: je
ei
, datif singulier ou nominatif masculin pluriel de is, ea, id : lui, à celui-ci, ce,...
enim
, conj. : car, en effet
eripio, is, ere, ere, ripui, reptum
: arracher, enlever
erumpo, is, ere, rupi, ruptum
: 1 - sortir avec impétuosité, s'élancer; faire une sortie, se précipiter à travers. - 2 - se produire subitement, se montrer tout à coup, paraître, se dévoiler, se découvrir. - 3 - au fig. éclater, se montrer, paraître; éclater (en paroles). - tr. - 4 - pousser hors de, faire sortir violemment, précipiter hors de, jeter, lancer. - 5 - percer, briser.
et
, conj. : et. adv. aussi
eum
, ACC M SING. de is, ea, id : il, lui, elle, celui-ci...
ex
, prép. : + Abl. : hors de, de
excito, as, are
: 1 - appeler hors de, faire sortir. - 2 - éveiller, réveiller. - 3 - faire lever, faire quitter une place, chasser. - 4 - faire paraître, produire. - 5 - élever, bâtir, construire, ériger, faire pousser. - 6 - relever, remettre sur pied. - 7 - allumer (le feu). - 8 - au fig. allumer, enflammer, exciter, ranimer; provoquer, soulever.
exeo, is,ire, ii, itum
: 1. sortir de, aller hors de 2. partir
exercitus, us
, m. : l'armée
exploro, a, are
: 1 - observer, examiner, explorer, faire la reconnaissance, vérifier, éprouver, tenter, essayer. - 2 - épier, guetter, faire une reconnaissance militaire, reconnaître. - 3 - se lamenter.
facio, is, ere, feci, factum
: faire
Faesulanus, a, um
: de Fiésole
fidelis, e
: en qui l'on peut avoir confiance, sûr, fidèle
fio, is, fieri, factus sum
: devenir
firmus, a, um
: 1 - ferme, solide, stable. - 2 - solide, assuré, durable, constant, persévérant, invariable, intrépide, inflexible. - 3 - fidèle, sûr. - 4 - fort, robuste, vigoureux, bien portant. - 5 - puissant, fort (en t. de guerre)
fortis, e
: fort, vigoureux, courageux,
fortissimus, a, um
: superlatif de fortis : courageux, fort
fortuna, ae
, f. : la fortune, la chance
fortunatus, a, um
: heureux, favorisé par la chance
frequens, entis
: 1 - qui se trouve souvent à, qui se trouve souvent avec, souvent présent, qui fréquente, assidu. - 2 - qui arrive souvent, fréquent, commun, ordinaire, familier, général; souvent employé, usité. - 3 - nombreux, en foule. - 4 - fréquenté, peuplé; rempli de, qui abonde en.
furor, oris
, m. : la fureur, la folie furieuse
futurus, a, um
, part. fut. de sum : devant être
gaudium, ii,
n. : le contentement, la satisfaction, la joie, la volupté
genus, eris
, n. : la race, l'origine, l'espèce
gladiator, oris
, m. : le gladiateur
habeo, es, ere, bui, bitum
: avoir (en sa possession), tenir (se habere : se trouver, être), considérer comme
hic, haec, hoc
: adj. : ce, cette, ces, pronom : celui-ci, celle-ci
homo, minis
, m. : l'homme, l'humain
id
, nominatif - accusatif neutre singulier de is, ea, is : il, elle, le, la, ce, ....
idem, eadem, idem
: le (la) même
ide
o, inv. : pour cette raison
igitur
, conj. : donc
ille, illa, illud
: adjectif : ce, cette (là), pronom : celui-là, ...
illinc
, adv. : de là, par là
in
, prép. : (acc. ou abl.) dans, sur, contre
incendium, ii
, n. : l'incendie
index, icis
, m : l'indicateur, le dénonciateur; l'index, l'indication; l'index, le catalogue
indico, as, are
: 1 - révéler, dénoncer, dévoiler, découvrir. - 2 - montrer, faire voir, indiquer (au pr. et au fig.). - 3 - mettre à prix, évaluer.
indignitas, atis,
f. : 1 - l'indignité. - 2 - le traitement indigne, l'inconvenance, la bassesse, l'outrage, la cruauté, l'atrocité, le supplice,l'ignominie. - 3 - l'indignation.
induo, is, ere, indui, indutum
: 1 - vêtir, revêtir, habiller (qqn ou soi-même), couvrir; armer. - 2 - mettre (un vêtement), passer, se revêtir de, revêtir, endosser. - 3 - au fig. prendre, emprunter. - 4 - entrer dans, se jeter dans (in et acc., ou abl. seul). - 5 - faire entrer, faire passer dans, insérer, enfoncer, introduire. - 6 - inspirer, inculquer. - 7 - faire prendre, prêter, donner, ajouter. - 8 - au pr. et fig. percer, transpercer.
infirmus, a, um
: 1. faible, débile 2. impuissant, sans valeur
inflo, as, are
: 1 - souffler dans, remplir de vent, gonfler, enfler. - 2 - sonner, jouer (d’un instrument à vent). - 3 - enfler (d'orgueil), donner de l'orgueil. - 4 - élever (le style). - 5 - élever, augmenter (le prix).
iniicio, is, ere, ieci, iectum
: jeter sur
integer, gra, grum
: non touché, sain et sauf ; de integro : de nouveau; ex integro : de fonds en comble; integrum est mihi : j'ai les mains libres
interea
, adv. : entre-temps
invenio, is, ire, veni, ventum
: 1 - trouver par hasard, rencontrer. - 2 - trouver en cherchant, découvrir, reconnaître. - 3 - trouver (par la réflexion), imaginer, inventer. - 4 - acquérir, obtenir, se procurer. - 5 - apprendre (en s'informant). - 6 - causer.
ipse, a, um
: (moi, toi, lui,...) même
ita
, adv. : ainsi, de cette manière ; ita... ut, ainsi que
itaque
, conj. : c'est pourquoi, aussi, par conséquent
iubeo, es, ere, iussi, iussum
: 1. inviter à, engager à 2. ordonner
iudicium, ii
, n. : le jugement, la décision, le procès (devant un tribunal)
iuventus, tutis
, f. : la jeunesse
laetus, a, um
: 1. joyeux 2. agréable 3. favorable 4. plaisant 5. riche, abondant
memini, isse
, impér. memento : se souvenir
mereo, es, ere, rui, ritum (mereri, eor, itus sum)
: mériter, gagner; merere ou mereri (stipendia) : toucher la solde militaire, faire son service militaire
meus, mea, meum
: mon
miles, itis,
m. : le soldat
minime
, adv. : très peu
minitor, aris, ari
: menacer (+ Datif)
minor, aris, ari
: 1 - être proéminent, faire saillie. - 2 - menacer, annoncer comme une menace. - 3 - annoncer à grand bruit, annoncer hautement, promettre.
miser, a, um
: malheureux
modus, i
, m. : 1 - la mesure, la dimension, la proportion; l'étendue, l'extension; la quantité; la hauteur, la longueur; le contour, le tour, la circonférence. - 2 - la mesure (objet qui sert à évaluer les quantités). - 3 - la mesure, le rythme, la cadence (musicale, oratoire), la mélodie, le chant, le mode musical, la musique. - 4 - la mesure, la règle, la loi, la prescription; la juste mesure, la modération. - 5 - les bornes, les limites, la fin, le terme. - 6 - la manière, la façon, le procédé, la méthode, le genre, la sorte, le mode. - 7 - le mode, la forme (t. de gram.).
murena, ae
, f. : la murène (Murena, ae, m. : Murena)
nam
, conj. : de fait, voyons, car
ne
, 1. adv. : ... quidem : pas même, ne (défense) ; 2. conj. + subj. : que (verbes de crainte et d'empêchement), pour que ne pas, de ne pas (verbes de volonté) 3. adv. d'affirmation : assurément 4. interrogatif : est-ce que, si
nefarius, a, um
: abominable
nego, as, are
: dire non, nier, refuser, ne pas vouloir.
neque
, adv. : et ne pas
nihil
, indéfini : rien
nisi
, conj. : si... ne... pas ; excepté
nolite
, ite + inf. : = ne + impératif
non
, neg. : ne...pas
numero, as, are
: 1 - compter, énumérer, dénombrer, calculer, supputer, énumérer; passer en revue. - 2 - compter, payer. - 3 - compter parmi, mettre au nombre de, regarder comme, tenir pour. - 4 - parcourir en cadence (les cordes de l'archet).
oculus, i,
m. : l'oeil
omnino
, adv. : complètement, tout-à-fait
omnis, e
: tout
oportet
, imp. : il faut
ordo, inis
, m. : le rang, l'ordre, la file (de soldats), la centurie
partim
, adv. : en partie
pauci, ae, a
: pl. peu nombreux, en petit nombre.
percello, is, ere, culi, culsum
: 1 - heurter avec violence, frapper fortement, ébranler. - 2 - faire une vive impression sur, émouvoir fortement, frapper (les sens ou l'esprit), bouleverser. - 3 - renverser (par un coup violent), abattre, terrasser, culbuter. - 4 - au fig. anéantir, détruire, ruiner, perdre, faire périr. - 5 - séduire, exciter, attirer.
percrebresco, is, ere, ui, -
: 1 - devenir commun, devenir fréquent, se multiplier. - 2 - se divulguer, se répandre partout, se répéter.
plenus, a, um
: 1. plein 2. rassasié, entier, complet, abondamment pourvu
possideo, es, ere, sedi, sessum
: 1 - posséder, avoir en sa possession, détenir; être propriétaire. - 2 - tenir, avoir, occuper. - 3 - envahir, s'emparer de.
possum, potes, posse, potui
: pouvoir
posterus, a, um
: suivant ; in posterum : à l'avenir
postridie
, adv. : le lendemain
praesertim
, inv. : surtout
pro
, prép. : + Abl. : devant, pour, à la place de, en considération de
promissum, i
, n. : la promesse
publicus, a, um
: public
purgo, as, are
: 1 - nettoyer. - 2 - purger (le corps). - 3 - enlever (en nettoyant), chasser, dissiper. - 4 - purifier, dégager débarrasser (d'une erreur ou d'une souillure). - 5 - laver d'une accusation; excuser, disculper, justifier.
qua
, 1. ablatif féminin singulier du relatif. 2. Idem de l'interrogatif. 3. après si, nisi, ne, num = aliqua. 4. faux relatif = et ea 5. adv. = par où?, comment?
quae
, 4 possibilités : 1. nominatif féminin singulier, nominatif féminin pluriel, nominatif ou accusatif neutres pluriels du relatif = qui, que (ce que, ce qui) 2. idem de l'interrogatif : quel? qui? que? 3. faux relatif = et ea - et eae 4. après si, nisi, ne, num = aliquae
quam
, 1. accusatif féminin du pronom relatif = que 2. accusatif féminin sing de l'interrogatif = quel? qui? 3. après si, nisi, ne, num = aliquam 4. faux relatif = et eam 5. introduit le second terme de la comparaison = que 6. adv. = combien
quantus, a, um
, pr. excl et interr : quel (en parlant de grandeur)
quas
, 1. ACC. FEM. PL. de pronom relatif. 2. ACC. FEM. PL. de l'adjectif ou du pronom interrogatif. 3. Après si, nisi, ne, num = aliquas 4. Faux relatif = et eas.
quem
, 4 possibilités : 1. acc. mas. sing. du pronom relatif = que 2. faux relatif = et eum 3. après si, nisi, ne num = aliquem : quelque, quelqu'un 4. pronom ou adjectif interrogatif = qui?, que?, quel?
qui
, 1. nominatif masculin singulier ou nominatif masculin pluriel du relatif 2. idem de l'interrogatif 3. après si, nisi, ne, num = aliqui 4. faux relatif = et ei 5. interrogatif = en quoi, par quoi
quia
, conj. : parce que
quid
, 1. Interrogatif neutre de quis : quelle chose?, que?, quoi?. 2. eh quoi! 3. pourquoi? 4. après si, nisi, ne num = aliquid
quod
, 1. pronom relatif nom. ou acc. neutre singulier : qui, que 2. faux relatif = et id 3. conjonction : parce que, le fait que 4. après si, nisi, ne, num = aliquod = quelque chose 5. pronom interrogatif nom. ou acc. neutre sing. = quel?
recipero, as, are
: recouvrer, reprendre
recordor, aris, ari
: rappeler, se souvenir
refero, fers, ferre, tuli, latum
: 1. reporter 2. porter en retour, rapporter (refert : il importe)
repleo, es, ere, evi, etum
: remplir
res, rei
, f. : la chose, l'événement, la circonstance, l'affaire judiciaire; les biens
respondeo, es, ere, di, sum
: répondre
restinguo, is, ere, stinxi, stictum
: éteindre
ruina, ae
, f. : la chute, l'écroulement, l'effondrement, la catastrophe, la ruine
satis
, adv. : assez, suffisamment
saucius, a, um
: 1. blessé 2. atteint, endommagé, maltraité 3. atteint au moral
scelus, eris
, n. : le crime, l'attentat, les intentions criminelles, le malheur, le méfait, le scélérat
se
, pron. réfl. : se, soi
sed
, conj. : mais
semper
, adv. : toujours
senatus, us
, m. : le sénat
sermo, onis
, m. : 1. l'entretien, la conversation 2. le dialogue, la discussion 4. le discours 5. la langue
severe
, adv. : adv. : sévèrement
si
, conj. : si
sic
, adv. : ainsi ; sic... ut : ainsi... que
sicarius, ii
, m. : 1 - le sicaire, le meurtrier, l'assassin, le bandit. - 2 - le sicaire, le gladiateur thrace armé d'un poignard.
signifer, eri,
m. : le porte-enseigne
sine
, prép. : + Abl. : sans
specto, as, are
: regarder
spes, ei
, f. : l'espoir
stipo, as, are
: entourer de façon compacte
Sullanus, a, um
: de Sylla
Sulpicius, i
, m. : Sulpicius (nom d'homme)
sum, es, esse, fui
: être
suus, a, um
: adj. : son; pronom : le sien, le leur
tamen
, adv. : cependant
tempus, oris
, n. : 1. le moment, l'instant, le temps 2. l'occasion 3. la circonstance, la situation - la tempe
timeo, es, ere, timui
: craindre
timidus, a, um
: craintif
timor, oris
, m. : la peur, la crainte
triumpho, as, are
: 1. obtenir les honneurs du triomphe 2. triompher, remporter un triomphe
tum
, adv. : alors
turba, ae
, f. : la foule, le désordre, le trouble, l'émoi
unus, a, um
: un seul, un
ut
, conj. : + ind. : quand, depuis que; + subj; : pour que, que, de (but ou verbe de volonté), de sorte que (conséquence) adv. : comme, ainsi que
valde
, adv. : certainement, parfaitement
vallo, as, are
: entourer de palissade, fortifier, retrancher, défendre, protéger
video, es, ere, vidi, visum
: voir (videor, eris, eri, visus sum : paraître, sembler)
vir, viri
, m. : l'homme, le mari
vis, -
, f. : la force
vivus, a, um
: vivant
vobiscum, = cum vobis
volo, vis, velle :
vouloir
voltus, us
, m. : = vultus, us, m. : regard
vosmet, = vos
vox, vocis,
f. : 1. la voix 2. le son de la voix 3. l'accent 4. le son 5. , la parole, le mot
texte
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